mardi 12 janvier 2010

Blog 7

Jihad humanitaire

C’est parti! Le dernier texte, et c’est sur un sujet libre. Je peux faire comme je veux. Quelle liberté! Une liberté rafraichissante, c’est l’autonomie totale. Mais attends, toute cette autonomie, est-ce que c’est vraiment aussi libératrice? Je dois choisir un thème, je suis obligé! Il est beau ce choix forcé, déguisé comme une liberté. Pourtant c’est moi qui a choisi d’être étudiant. Bon, on arrêt là, sinon on va être totalement confus.

Ce que m’ont donné des grands plaisirs ici en France c’est de lire les livres en français. Par conséquent je voudrais vous présenter quelques pensées exposé par Abdel-Rahman Ghnadour, l’auteur du livre ”Jihad humanitaire”. Monsieur Ghnadour a travaillé pour plusieurs ONG, notamment pour le Croix-Rouge et pour Médecins Sans Frontières, et il a fait une enquête sur les organisations non gouvernementales (ONG) islamiques. C’est un livre très intéressant, mais il faut être concentré en le lisant; ce n’est pas un livre d’abord facile.

Ghnadour commence son ouvrage en expliquant des concepts clés, quelques principes cardinaux. Pour le lecteur sans connaissance de l’islam les explications de ces principes ne sont pas très claires, mais l’importance de l’unicité de Dieu, la communauté de fidèles et le jihad sont néanmoins clairement souligné. Une distinction importante fait par l’auteur est celle entre le jihad des corps, ou le jihad mineur, et le jihad des âmes, le jihad majeur. Le jihad mineur est le jihad que l’on connait par le biais des medias, c’est le combat sacré, une lutte contre les infidèles inférieurs. Ce combat peut être aussi bien constructif qui destructif. Les medias nous donnent l’impression que le coté voilent et destructif est le plus important, une impression tordue car le combat armé n'est autorisé que si une agression armée est déclarée envers une nation ou un ensemble d'individus musulmans. Parallèlement les efforts constructifs n’attirent aussi d’attention. Le grand jihad est la lutte intérieure que le musulman mène contre l'envie et la jalousie, le mensonge, l'adoration quelle qu'elle soit, qui l'écartent du chemin de Dieu. C’est un combat quotidien, un combat continu. En gros les efforts humanitaires qu’ils font les musulmans est le coté non-violent de jihad, le jihad majeure et constructif.

En suite Ghnadour présente des idées idéologiques intéressantes par rapport aux droits de l’homme. Le plus parts d’ONG islamiques ont comme principe d’aider que les musulmans, plus particulièrement des orphelins et des refugiées. Une telle position ne se conforme pas aux idées normatives de l’Occident, ou on trouve les valeurs d’impartialité, neutralité et humanité. En d’autres termes il faut porter secours sans discrimination, quel que soit nationalité, religion ou genre. Comment peut-on à la fois donner une aide discriminative et être adhérent aux droits de l’homme à la fois ?

En traitent le sujet d’économie l’auteur donne une impression un peu sombre des ONG islamiques. Il fait des liens entre les organisations politiques et les ONGs, pendant qu’il présent des idées vagues concernant quelques liens aux organismes terroristes. Globalement c’est difficile de savoir d’ou viennent l’argent des ONG islamique. A la fois, selon Ghnadour, il y a des cas ou les ONG sont utilisées seulement comme un moyen d’avoir une influence politique là ou la liberté politique n’existe plus. Par rapport à une pensée humanitaire Occidentale normative une telle mélange ne se fait pas, même si on peut la trouvé car une séparation totale est très difficile, voir impossible. Le plus grand souci ce n’est pas que cette mélange existe, mais qu’elle n’est pas critiqué pas les autres ONGs islamiques. Il n’y aucun débat sur le sujet.

Il y a aussi l’aspect de concurrence, voir rivalité vers des ONG chrétiennes. La pensée de coopération, pour le bien être de tout le monde est pour la plupart absent. Encore une fois, le problème ce n’est pas le fait qu’il y a une compétition. C’arrive et c’est naturel quand on travaille dans les même endroits et quand on cherche des donateurs. Le problème c’est que cette compétition est acceptée comme un concept normatif, quelque chose qu’il faille faire.

Pour conclure je veux dire que cette enquête ne me passe pas comme objectif ou neutre. Il me semble que l’auteur Ghnadour ne veut pas seulement nous donner une introduction sur les ONG’s islamiques, mais qu’il veut nous donner son avis sur les choses, et donc il nous présente une image un peut tordue. Finalement l’impression générale que me reste est un sentiment de avoir appris pas mal de choses sur le jihad humanitaire, même si j’aimerais bien avoir la possibilité de cheque les sources de M. Ghnadour.

mercredi 16 décembre 2009

Blog 6

Mes cours et mes stages

Voilà, c'est le sixième texte, et là ça commence à être un peu difficile. En fait peu à peu j’ai parlé de presque tout ce que je suis en train d’écrire maintenant. Mais on faut faire avec, donc je commence ! 


Soit j’ai cours, soit j’ai des stages. Mes cours j’ai déjà mentionné, mais pour vous rappeler je fais un peu de licence deux et un peu de master deux. Je me suis focalisé sur la psychologie sociale, que j’approche sous des angles différents. Soit le sujet porte sur les organisations, soit la culture, de temps en temps le consulting est aussi utilisé pour éclaircir le rôle de la psychologie sociale. Les cours sont tous intéressants car ils nous donnent une perspective différente, une perspective plus vaste qui nous donne plus de liberté, théoriquement parlant. Il me semble que les exigences méthodologiques ne sont pas aussi soulignés ici comme chez nous. En utilisant la connaissance on acquiert dans les cours de psychologie sociale, on peut voir les grandes lignes connectant les phénomènes particuliers que l’on trouve dans la psychologie sociale. C’est vraiment intéressant et rafraichissant d’avoir une approche aussi differente, mais de temps en temps ca peut être un peu difficile de comprendre exactement à quoi les grandes théories de Bourdieu et Dubet servent.  

En parlant des comportements des étudiants français je pense que j’ai déjà dit le plus intéressant. Donc je passe à ce qui était difficile et comment j’ai trouvé des solutions. Souvent les problèmes sont des problèmes concrets, comme des cours annulés, des salles changées et des professeurs qui ne venaient pas. Lorsque je suis dans une promotion fréquemment mes problèmes se résolvent eux même, c’est-à-dire ; je suis mes amis de la classe, soit on trouve ce que l’on cherche (la salle ou le professeur) soit on prend un café et en rigolant on parle de tout et de rien. Bon, ce n’était pas toujours aussi facile, mais ma philosphie est toujours relationnelle. En d’autres mots je résouds mes problèmes avec l’aide de quelqu’un, par le biais de mes relations sociales. Habituellement le secrétariat de psychologie peut nous aider, et sinon on a d’autres étudiants ; des français et d’autres étrangers. Ensemble on trouve toujours une solution!  

L’histoire des examens, oui ça c’était vraiment une histoire. Ce n’est pas que la fac soit difficile, mais c’est seulement beaucoup à organiser. Nous avons quasiment fait un examen par professeur, donc il y avait de la coordination à faire. Mais avec l’aide du secrétariat et un peu de souplesse de notre part, on y arrive. C’était des examens oraux, souvent à la fin de la journée, dans le bureau des differents professeurs. En général, on a été bien preparé, donc les examens ont aussi été plutôt des conversations autour une question du cours. Et évidemment, les professeurs vont prendre soin du fait que l’on est des étudiants ERASMUS, et ils ne vont pas chercher à nous pousser à la faute. Ils ont déjà prevu qu’ils ne voulaient pas être stricts, donc les préparations n’a été pas trop dures. Néanmoins, comme je l’ai déjà dit, je me suis pas mal préparé puisque je ne voulais pas entrer dans le bureau de quelqu’un et ne pas être capable de répondre des questions simples. La base de mes preparations était les notes de quelqu’un d’autre, et ça m’a aidé beaucoup étant donné que mes propres notes n’ont pas été ni complètes ni très claires. Ainis je peux vous conseiller, mes chers lecteurs, de demander à vos camarades s’ils ont des notes vous pouvez emprunter.  

Pour finir, je veux vous parler des cours de français, c’est optionnel, mais j’aimerais bien le faire. Les textes que vous avez lus ont été rédigés au moins deux fois, voir trois fois, et on trouve toujours des fautes de grammaire. J’ai beaucoup aimé les cours de français, on a appris beaucoup. Mais (à l’université il y a toujours un mais) je pense peut être, pour moi en tous cas, que l’on n’a pas assez travaillé l’expression écrite en général et plus précisement, je voudrais travailler un peu plus sur la grammaire. Ceci dit, je comprends pourquoi ; on était nombreux et chacun a ses préférences, donc c’est difficile, voir impossible, de trouver une solution qui plaise à tout le monde. Ensuite, c’est légitime de se poser la question si mon niveau de grammaire a été suffisamment élevé pour un cours de B2. Certainement, j’ai des manques fondamentaux, et je voudrais bien les combler.

mercredi 2 décembre 2009

Blog 5

Ma vie quotidienne

 J'aime vraiment la vie quotidienne, c'est en elle que l’on vit vraiment. C'est là où on peut voir les nuances et les détals. C'est aussi là où on peut se faire des amis prochs, c'est là où on peut savoir ce qu’est exactement « d’être ». Je vis ma vie quotidienne donc je suis. Humm, un peu prétentieux pensez-vous? Bon, je suis d'accord, mais pourquoi pas? C'est le blog de crédits (j'ai appris que c’est un titre impossible, car cela ne se dit pas en français) et ici tout est autorisé. 


J'ai quand même un rythme de vie, optimisé par moi et pour moi. Je me lève aux environs de sept heures du matin, je m’habille, et je vais chez ma boulangère préfèrée, dont je ne connais toujours pas le nom. Elle me reconnaît, elle connait mes habitudes, elle sait quand je vais arriver. À sept heures quinze, plus ou moins, j'entre et demande mon pain aux céréales. On ne parle pas trop, souvent un petit bonjour, « merci » ou « bonne journée » suffisent. Elle me donne mon pain, moi je lui donne son 1 € 55. C'est sympa, et je suis toujours content quand je rentre chez moi. 

Dans la cuisine je fais ma tartine, et en même temps je prépare mon café. En dévorant mes tartines je regards le café en train de se préparer dans ma cafetière turque, (ou brésilienne, ou française, ou je ne sais plus), et je pense que la vie était belle, est belle et elle sera belle. Lorsque mon café est prêt, et si j'ai le temps, je vais dans ma chambre devant mon ordinateur pour faire un petit exercice de vocabulaire. Normalement je porte toujours un petit carnet où j'écris les mots que les gens m'apprennent, ou les mots que j'ai trouvé dans mes livres. Je tape ces mots sur mon ordinateur, et après je les révise. Ma vie quotidienne, semble-t-elle trop organisée, trop structurée? Oui, sans doute. Ce système là ne fonctionne plus. Mais j'espère bientôt le reprendre. Bien-sûr, bientôt!

Alors, quand je suis souvent en retard, et que je ne peux pas faire mes révisions en savourant mon café, je dois fréquemment le porter, et l’apprécier dans le tram. Ça me va aussi, car dans le tram je ne peux pas faire grand chose, et c'est mieux d’avoir quelque chose à faire.  

Vers 9 heures j'arrive à la bibliothèque universitaire dans laquelle je revise. Là je travaille soit sur mes cours de français, de préférence sur la grammaire, soit sur mes cours de psychologie sociale. Je fais mon travail à la bibliothèque seulement lorsque je n'ai pas de cours, mais j'en ai pas mal, par conséquent je ne suis pas très souvent la-bas. Les cours ici en France sont si différente des cours de chez nous. En premier lieu on est nombreux, et on est dans des grands amphithéâtres. Des équipements sont OK, mais sans plus et souvent le son n'est pas optimal. Deuxièmement j'ai l'impression que la plus parts des professeurs ne font pas de cours magistraux pour les étudiants, mais plus pour leur employeur, ou pour eux-même. C'est-à-dire; les présentations ne sont pas adaptées aux étudiants. La plus parts des professeurs dépendent trop de leurs notes, et par conséquent ils ont peu de variation et ils restent paresseux. Le pire est que souvent ils ne savent pas comment on utilise les outils techniques pour faciliter leurs présentations. Donc, s’il y a des définitions importants ils ne les mettent pas sur une fiche de powerpoint, mais ils les lisent, une fois, trois fois peut être aussi une quatrième fois! Souvent les définitions qu’ils lisent sont très longues et contiennent des mots difficiles, donc on (et surtout moi) perd le sens des phrases. Ces récitations m'étonnent; les professeurs sont des personnes qui ont bac +x de psychologie, et pourtant ils ne prennent pas en compte le savoir concernant le mémoire de travail (http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9moire_de_travail), et les limites de l’attention.  

Comme je l'ai déjà mentionné je joue au foot pour WISE, l'équipe de Connemara Irish Pub. Les entrainements sont importants dans ma vie quotidienne, car on joue deux fois par semaine. On joue dans le ligue de foot loisir nocturne, donc je m’occupé de cela toute la soirée, chaque lundi et vendredi. Au Connemara on voit aussi des matchs de foot chaque weekend, notamment les matchs de FA Premier League. 

Hmmm, j'ai presque oublié de mentionner les informations qui peuvent intéressants pour de futurs étudiants. Quand on parle de cafés sympa, je pense immédiatement a plusieurs endroits : il y en a un pas loin de la Victoire; un café un peu baba-cool, inspiré de l'est, avec des peintures et des photos la plus part de l'Inde, mais aussi du Népal et du Bangladesh. Ils servent des super thés, et ils ne sont pas trop chère.  


lundi 16 novembre 2009

Blog 4

Ma rentrée à l’université de Bordeaux 2 – Victor Ségalen

Ce que vous êtes entrain de lire est le quatrième texte sur blog de crédits; c’est-a-dire, j’ai que trois textes a faire. Bref, je veux vous rancontrer ce qui s’est passé à ma rentrée à l’Université de Bordeaux 2. Franchement, je peux pas dire qu’il y avait un rentrée fixe, mais plutôt on a commencé peu à peu. Car je fais des cours en licence 2 et en master 2, il n’y avait pas une semaine d'intégration, et on s’est seulement rencontre au cours.

Normalement les ERASMUS sont très connus pour leurs fêtes et pour leurs soirées, mais comme je vous l’ai déjà dit; apprendre le français est mon but, et on apprend moins de français en parlant avec des étrangers par rapport à des conversations avec des Français. Par conséquent je n’ai pas fait trop de fêtes avec eux. En fait, je les évite souvent.

Ce qui m’a étonné: le bizutage. Le tradition est connu chez nous aussi, « une semaine d'intégration » et il y a des similarités. Mais ce que je trouve scandaleuse, une véritable honte c’est la collecte de fonds. La raison pour laquelle j’utilise des mots aussi fort est que je pense aux gens qui ont pas assez d’argent, soit dans les rues de Bordeaux, soit dans les rues de Brazzaville ou dans la forêt en Roumanie. C’est repoussant que les gens aient l’aplomb de demander de d’argent pour faire la fête! Là ils se trouvent nés dans un pays qui leur donne tout ce dont ils ont besoin pour survivre, je trouve ingrat de leur part d’oublier cela en demandant de l’argent aux passants.

J’ai discuté avec mes amis français, et tous ont tenté de m’expliquer pourquoi, mais je ne suis arrivé pas á l’accepter, ou au moins comprendre. ”C’est la tradition, c’est le bla, machin bla bla bla”. Et évidemment ce n’est pas une tradition que l’on discute, je n’ai pas encore rencontré des gens qui l'ont critiqué. Scandaleuse. Pourquoi dépenser son énergie à solliciter de l’argent à ses bêtises, quand il y a autant de souffrance partout? Cela me révolte vraiment!

Peut-être un petit commentaire à propos de mon propre milieu, mes origines et mon éducation pourrait éclairer ma réaction assez brusque. Chez nous on ne demande jamais de l’argent à quelqu'un. C’est hors de question. Lorsque l’on fait une collecte de fonds, on le fait pour une bonne cause, par exemple une cause humanitaire. Et cela demande beaucoup de courage pour le faire car souvent les gens à qui on demande trouveraient cette demande intrusive. Voici une petite tentative, pas trop élaborée, pour expliquer les raisons pour lesquelles j'ai ce position là.
Donc, ça va, on passe à ce qui m’a énerve, ou non, en fait les collectes de fonds m’étonnent et m’énervent à la fois. 

Alors, ce qui m’a fait plaisir. J’aime bien mes amis dans ma classe de master 2, et j’ai aussi trouvé quelques amis dans mes cours de licence deux. Les relations sont importantes pour se porter bien socialement, mais surtout si on veut apprendre la langue. On a fait un soirée avec ma classe de master deux de psychologie sociale, et ce qui fait très plaisir. On a beaucoup mangé, beaucoup bu, quelques uns ont fume l’herbe, et on a parlé à foison. C’est intéressant de découvrir les français et la langue française en conversant, même-si les conversations restes pas trop élaborées et que l’on ne vide pas forcement son sac.

 
Alors, les ressemblances entre ma rentrée universitaire ici en France, plus précisément Bordeaux, et une rentrée chez moi. Évidemment c’est d’abord plus facile de parler des différences , mais je veux essayer de trouver les similarités. L’importance de l’alcool est bien-sûr le plus grande similarité entre les deux traditions, c’est-a-dire que l’alcool à le rôle comme ”pétrole ou facilitateur sociale”. Les gens ont peur de l’inconnu, et ils font face à cette situation avec l’alcool. Malgré le rôle essentiel de l’eau-de-vie, la façon de consommation est différente. Bon, tous le boivent, mais chez nous on se réunit en avance chez quelqu’un pour boire; ce qu’on appelle le ”forsh”. Là on boit de grandes quantités avant que l’on sorte, pour la simple raison que l’alcool est super cher dans les bars et les pubs. Mon impression ici est que les gens ici boivent plus pour le plaisir, et ils boivent moins d’alcool. Mais je connais pas trop la culture pour la fête ici, donc ce que je présente est seulement des observations au hasard, et pas des résultats d’enquête.

Le point concernant des bêtises; ils existent chez nous aussi, mais elles sont uniquement considérée comme des activitées se faisent sous l’influence de l’alcool, et comme une façon d’être intégré. Moi personnellement j’ai déteste tout ce qui est associe avec les bêtises, et donc je les évite. Par conséquent je ne connais pas trop les exemples.

Blog 3

Mon LogementLe troisième texte. Est-ce que l'on a observé des progrès, est-ce que ma expression écrite a été améliorée? Celui qui lira la suite pourrait le découvrir. Le problème de genre me gène toujours, mais j'espère que je vais y arriver tôt ou tard.Donc, je suis arrivé à Bordeaux fin juillet pour suivre un cours de français. L'alliance Française, qui me donnait le cours, m'avait trouvé une famille d'accueil pour le mois d'août. Là, j'ai habité avec un couple et ses deux enfants, dans un ambiance conviviale, et aimable. Ma chambre était prête et tout ce que j'ai dû faire était de déposer mes affaires. Il y avait une table, une chaise, un lit, une armoire, voire même un miroir! J'ai été super content et j'aurais voulu rester jusqu'en décembre, mais la chambre était déjà prise à partir du premier septembre.En cherchant un logement j'ai utilisé une « approche relationnelle », en d'autres termes j'ai demandé á tout le monde que je rencontrais s’ils connaissaient quelqu'un qui cherchait un colocataire. Pourquoi ai-je choisi cette façon de trouver un logement? Le but de mon séjour ici à Bordeaux est d'apprendre le français, mais habitant avec des ERASMUS, bien-sûr la solution plus facile aurait été de parler plutôt en anglais. Pour éviter cela et pour me forcer à parler français, même si la communication serait superficielle, voir absente les premiers semaines, j'ai tenté de trouver une collocation français.Pendant deux semaines je me suis trouvé sans domicile fixe, je n'ai pas dormi dans la rue, mais vous me comprenez. J'ai eu de la chance, parce-que ma famille d'accueil m'a proposé de dormir chez eux, sur le canapé. Je me sentais un peu mal l’aise car j'ai occupé le salon le soir, et dans un sens je les ai privés leur télé (qui se trouvait dans le salon) et donc leur possibilité de se relaxer Je voudrais trouver un logement au centre ville, mais ce me semblais très difficile: soit c'était trop chère, soit c'était trop petit, ou avec des étrangers.Mi-septembre j'ai rencontré deux jeunes filles qui, en sachant que je cherchais un logement, m'ont proposé une chambre. Moi, j'en ai eu marre de chercher, donc je n'ai pas hésité et j'ai accepté tout de suite. Actuellement je me trouve vers Pessac, pas loin de Montaigne/Montesquieu. Ce n'est pas vraiment pratique par rapport de la fac (à la Victoire), mais ca me ne gêne pas puisque j'habite avec des gens très simples, très souples et vraiment sympa.Comme je resterai, malheureusement, seulement cinq mois ici à Bordeaux je n'ai pas envisagé de m'acheter trop de meubles etc. Heureusement les gens que je connais m'ont donné tout ce dont je besoin, par conséquent je n'ai pas dépensé trop d'argent à des choses que je peux pas rapporter chez moi, loin de Bordeaux!Qu'est ce que j'aime, ou qu'est ce que je n'aime pas dans mon logement? Comme citoyen européen ilfaut pas se plaindre; on a tout que l'on a besoin. La maison n'est pas un château, mais ça va. Chez moi je suis au sec et je n'attrape pas froid. D'ailleurs j'aime bien la convivialité, et aussi le fait qu'il y a peu d'exigences chez nous. On est libre, et on fait ce que l'on veut, les gens avec qui j'habite ne demande pas grand chose de moi, et ainsi on vit tranquillement ensemble. C'est un peu sale, mais ça me va, car normalement ce n'est pas moi qui fais l'effort quand on parle du balais.Dans ma chambre j'ai presque rien, que le nécessaire comme une table, un lit, une armoire, un trop grande miroir et une chaise. J'ai pensé la décorer, et je réfléchis toujours, et franchement; ce ne va pas changer. Donc je crois que les posters que je viens d'acheter vont rester sur mon bureau, et que je vais les emporter quand je partirai.Le chemin entre mon logement et la fac n'est pas une véritable expédition. Si j'ai un cours à 9h je pars de chez moi à 08h30, avec ma grande tasse de café, et après dix minutes à pied je prends le tram vers centre ville. Dans le tram je trouvais une place tranquille et je lis mon livre. Après avoir bu mon café et lu mon livre, je descends a la place de la Victoire. La suite est pas trop difficile car l'arrêt du tram est situé exactement en face le fac, et que l'on fait une petite promenade pour y arriver.

jeudi 12 novembre 2009

Blog 2

Alors, c'est le deuxième texte ici sur le blog de crédits, et et j'espère que ce soit meilleur que le dernier. Il s'agit de mon premier jour à Bordeaux, mes premières impressions et mes premières réflexions.

J'étais déjà parti de la Norvège le 20. juin pour aller au Kenya et Tanzanie. Là j'ai travaillé pendant un mois et après je me suis reposé une petite semaine à Zanzibar. En direct de Zanzibar j'ai pris un vol pour retourner en Europe, et à Amsterdam j'ai rencontré ma famille qui était en train de faire un petit tour d'Europe en voiture. Je suis donc arrivé ici à Bordeaux en autoroute. Heureusement mon père avait acheté un GPS, sinon on n'aurait jamais trouvé notre logement. En effet le logement, un « bed n' breakfast » se trouvait chez l'habitant, une petite famille de trois. Nous avons vraiment aimé le convivialité, et ils ont nous donné beaucoup d'informations sur Bordeaux et ses attractions. C'était le première fois où l'on nous a parlé des changements architecturales récent de Bordeaux.

Qu'est-ce qui m'a surpris? En arrivant à Bordeaux, je ne connaissais pas du tout la ville. Ce fut une grande surprise de découvrir que elle est une belle ville stupéfiante, avec plusieurs qualités que j'aime bien. Premièrement, les petites rues étonnantes, avec énormément de restaurants et beaucoup de monde. Deuxièmement, les vastes rues piétonnes m'attiraient, et dernièrement, mais non pas par ordre d'importance; le quai, avec sa splendeur souligne par le miroir d'eau. Pendant les premières semaines je me suis promené chaque jour aimant la beauté et je me suis imprégné de l'atmosphère bordelaise.

Moi, je vois le monde comme dans un état d'équilibre; si il y à des bonheurs ou de choses magnifiques, soit culturelle, soit historique, il aurait été, et serait toujours aussi des malheurs et de souffrance et des misères. Ce principe a été la base de l'ambivalence que je sentis concernant Bordeaux. Chaque attraction touristique a provoqué des penses comme le suivant. «Ô la-la! C'est énorme, incroyable! Super jolie! Vraiment... » et après « mais les bâtiments ont couté combien de morts? Et de la souffrance? Le injustice que l'on vécu... »; Cette ambivalence est toujours présent, et elle ne serait pas jamais disparaître.
Un autre fait qui a me vraiment gêné est les SDF; pas touts, mais il y a eu des représentants pour cette groupe qui a me dégouté. Pour ce qui les ne connais pas, j'ajoute un petit définition de SDF, trouvé sur Wikipédia (version française) avant continuer;
Un sans domicile fixe (SDF) est, dans le langage courant, une personne qui dort dans la rue ou dans des foyers d'accueil. On parle aussi de sans abri ou d'itinérant.

J'ai fait pas mal de voyages, et je suis adapté (peut-être trop) a la vue des gens sans abri et des mandants. Par contre, je ne suis pas du tout habitué a des comportements antisocial socialisé (trouble des conduites, type socialisé), c'est-à-dire des conduits clairement gênants pour le plus part du monde, mais accepté, et parfois encouragé, par leur groupe de d'appartenance.
Je peux illustrer ce phénomène par une petite anecdote. En étudiant français à l'alliance française on déjeunait toujours dans le petit parc à place Gambetta. Souvent on mangeait dans le même endroit où on trouvait les SDF. Un jour les SDF se sont décidés de rigoler un peut, et ils ont vomit devant nous. Ils ont le fait exprès, clairement, et pas seulement un fois, mais plusieurs fois. Le pire a été quand un des SDF a couru vers nous, en vomant. Il y avait des filles qui ont eu peur, et moi j'étais furieux. Mais je pouvait rien faire, sauf rester pour par renforcer leur comportements. Malheureusement je subi le pressure de la groupe; et on été parti pour déjeuner tranquillement dans un autre endroit.

Des expériences comme telle sont des observations qui est à la fois dégoutants et intéressants. De temps en temps j'essaye de comprendre les SDF qui fond les comportements répulsive, apparemment sans provocation. Je n'ai pas encore trouve la réponse, la raison pour laquelle quelqu'un voudrais faire les choses comme ça, mais la question s'attarder toujours.
Donc, j'arrête des spéculations quasi philosophique pour essayer de trouver des préconisations pour des nouveaux étudiants ERASMUS. Franchement, c'est pas facile. On peut pas faire grande chose le premier jour, sauf s'installer, mais si on ferrais un cours de français avant commençant des études universitaires je croix que ce soit mieux si on habite chez une famille d'accueil pendant semaines que l'on a des cours.

lundi 19 octobre 2009

Blog 1

Bienvenue ici à le blog de crédits, un blog ou je doit faire au moins sept textes de sept-cent-cinquante mots. Alors, il y a seulement une solution: au travail!

Identité et études
Je me présente; je m’appelle Ben Rakeliainakamolahy et je suis étudiant ERASMUS à l'Université de Bordeaux 2 – Victor Ségalen, où je fais mes études en psychologie. C’est pas aussi facile d'expliquer le « cocktail » de cours que je fais, alors que on normalement fait soit licence un, deux ou trois, soit master un ou master deux. Comme je suis inscrit dans un programme spéciale en Norvège, où on doit faire six ans au filet pour être psychologue, je me suis obligé de me faire « une salade du fruit » de cours pour remplir le 30 crédits que ma université me demande. Donc, je fais deux cours de psychologie sociale, une cours anglais, une cours qui s’appelle ”famille et interculturalité”, et aussi des différents cours de français.

Pourquoi j’ai choisi Bordeaux?
Quand je suis arrivé à Bordeaux j’ai eu aucune information concernant la ville, sauf que il y avait une université où on pourrait faire la psychologie sociale. Mais pourquoi ai-je choisi Victor Ségalen quand j’ai eu effectivement zéro information sur Bordeaux? En recherchant un université pour ma semestre d'échange, l'administration de l'université de Bergen (UiB) était exigent. Ils me demande de lui fournir beaucoup d’information par rapport de cours;tout d’abord une description du cours, combien de crédits, mais aussi une bibliographie de chaque cours. Par ailleurs on devrait aussi, préférablement, utiliser une lien entre UiB et une autre université. En fait quand on a cherché ces liens, on a trouvé que UiB a eu (et peut être ils l’ont toujours) seulement deux liens français, par conséquent mes choix étaient automatiquement et relativement limité. Comme la priorité pour cet échange était d'apprendre le français, on a eu deux possibilités: soit l'Université de Montpellier soit l'Université de Bordeaux 2. Étant donné que les web sites de l'université de Montpellier avaient eu le score plus pire dans une évaluation mené par un association d’étudiantes, on n’a pas trouvé suffisant d'information pour documenter la sérieusité de l'université. D'ailleurs on a en réalité un seul choix pour aller en France; la belle ville de Bordeaux!

Mon niveau en français
Comme vous verrez, mon niveau en français est pas encore acceptable, mais j’arrive en communiquer, et ce c’est déjà quelque chose. J’ai fait un cours de français à Alliance Français (AF) pendant cinq semaines, au niveau B1 grâce à ma compréhension d'orale. En parlant avec M. Le Professeur on a ensemble trouvé que ce pourrait être mieux si je fais le cours de B2 ici a l’université. J’ai travaillé avec mon expression écrit, et en analysant des textes j'ai trouvé que je fasse en général beaucoup de défauts, mais aussi que je dois me concentrer parce que c’est les défauts que soit pas inévitables. Parmi mes erreurs plus communs l'on trouve que je souvent oublie les accents, que je ne soit pas concentré en regardant des orthographes en général, et que je de temps en temps utilise des mots qui ne sont pas désigné comme ”jolie.” Qui plus est que je fasse toujours des défauts par rapport de conjugaison et le genre de mots.

Ma description morale – un version fait pour la publique
Alors, pour suivre le recette donné cette paragraphe doivent avoir le titre ”ma description morale”, un thème que je trouve un peu trop révélant. En tout cas, j’ai un fondement d’une culture chrétienne, donc mes préférences morales se positionnent de plus près les idéales des la Bible. Aussi je me battre vers les pensés de Kant et son impératif catégorique, mais je me souvent trouve en difficulté en cherchant le lien entre cette pensé et la réalité. Toutefois, de être philosophique dans un langue avec que l’on boîte ne serait pas recommandable.

Option numéro deux: mes hobbys.
Par conséquent on se promène vers le fin de cette présentation de le soi, ou moi-même, et donc vers mes intéresses. Je suis un garçon, si vous n’avez pas encore réalise, et naturellement j’aime le football. Je joue pour une équipe de pub, avec un ambiance parfait; pas trop compétitif, pas trop unsérieuse et à la même temps assez amical. On joue deux fois par semaine; le lundi soir et le vendredi soir. L’équipe se compose de soixante pour cent joueurs français, et quarante pour cent étudiants d’ERASMUS. Jouant pour une équipe de pub, on a toujours une lieu pour aussi regarder les matches au football, comme c’est le case de Champions League, Premier League, The FA cup et aussi les matches internationaux.