lundi 16 novembre 2009

Blog 4

Ma rentrée à l’université de Bordeaux 2 – Victor Ségalen

Ce que vous êtes entrain de lire est le quatrième texte sur blog de crédits; c’est-a-dire, j’ai que trois textes a faire. Bref, je veux vous rancontrer ce qui s’est passé à ma rentrée à l’Université de Bordeaux 2. Franchement, je peux pas dire qu’il y avait un rentrée fixe, mais plutôt on a commencé peu à peu. Car je fais des cours en licence 2 et en master 2, il n’y avait pas une semaine d'intégration, et on s’est seulement rencontre au cours.

Normalement les ERASMUS sont très connus pour leurs fêtes et pour leurs soirées, mais comme je vous l’ai déjà dit; apprendre le français est mon but, et on apprend moins de français en parlant avec des étrangers par rapport à des conversations avec des Français. Par conséquent je n’ai pas fait trop de fêtes avec eux. En fait, je les évite souvent.

Ce qui m’a étonné: le bizutage. Le tradition est connu chez nous aussi, « une semaine d'intégration » et il y a des similarités. Mais ce que je trouve scandaleuse, une véritable honte c’est la collecte de fonds. La raison pour laquelle j’utilise des mots aussi fort est que je pense aux gens qui ont pas assez d’argent, soit dans les rues de Bordeaux, soit dans les rues de Brazzaville ou dans la forêt en Roumanie. C’est repoussant que les gens aient l’aplomb de demander de d’argent pour faire la fête! Là ils se trouvent nés dans un pays qui leur donne tout ce dont ils ont besoin pour survivre, je trouve ingrat de leur part d’oublier cela en demandant de l’argent aux passants.

J’ai discuté avec mes amis français, et tous ont tenté de m’expliquer pourquoi, mais je ne suis arrivé pas á l’accepter, ou au moins comprendre. ”C’est la tradition, c’est le bla, machin bla bla bla”. Et évidemment ce n’est pas une tradition que l’on discute, je n’ai pas encore rencontré des gens qui l'ont critiqué. Scandaleuse. Pourquoi dépenser son énergie à solliciter de l’argent à ses bêtises, quand il y a autant de souffrance partout? Cela me révolte vraiment!

Peut-être un petit commentaire à propos de mon propre milieu, mes origines et mon éducation pourrait éclairer ma réaction assez brusque. Chez nous on ne demande jamais de l’argent à quelqu'un. C’est hors de question. Lorsque l’on fait une collecte de fonds, on le fait pour une bonne cause, par exemple une cause humanitaire. Et cela demande beaucoup de courage pour le faire car souvent les gens à qui on demande trouveraient cette demande intrusive. Voici une petite tentative, pas trop élaborée, pour expliquer les raisons pour lesquelles j'ai ce position là.
Donc, ça va, on passe à ce qui m’a énerve, ou non, en fait les collectes de fonds m’étonnent et m’énervent à la fois. 

Alors, ce qui m’a fait plaisir. J’aime bien mes amis dans ma classe de master 2, et j’ai aussi trouvé quelques amis dans mes cours de licence deux. Les relations sont importantes pour se porter bien socialement, mais surtout si on veut apprendre la langue. On a fait un soirée avec ma classe de master deux de psychologie sociale, et ce qui fait très plaisir. On a beaucoup mangé, beaucoup bu, quelques uns ont fume l’herbe, et on a parlé à foison. C’est intéressant de découvrir les français et la langue française en conversant, même-si les conversations restes pas trop élaborées et que l’on ne vide pas forcement son sac.

 
Alors, les ressemblances entre ma rentrée universitaire ici en France, plus précisément Bordeaux, et une rentrée chez moi. Évidemment c’est d’abord plus facile de parler des différences , mais je veux essayer de trouver les similarités. L’importance de l’alcool est bien-sûr le plus grande similarité entre les deux traditions, c’est-a-dire que l’alcool à le rôle comme ”pétrole ou facilitateur sociale”. Les gens ont peur de l’inconnu, et ils font face à cette situation avec l’alcool. Malgré le rôle essentiel de l’eau-de-vie, la façon de consommation est différente. Bon, tous le boivent, mais chez nous on se réunit en avance chez quelqu’un pour boire; ce qu’on appelle le ”forsh”. Là on boit de grandes quantités avant que l’on sorte, pour la simple raison que l’alcool est super cher dans les bars et les pubs. Mon impression ici est que les gens ici boivent plus pour le plaisir, et ils boivent moins d’alcool. Mais je connais pas trop la culture pour la fête ici, donc ce que je présente est seulement des observations au hasard, et pas des résultats d’enquête.

Le point concernant des bêtises; ils existent chez nous aussi, mais elles sont uniquement considérée comme des activitées se faisent sous l’influence de l’alcool, et comme une façon d’être intégré. Moi personnellement j’ai déteste tout ce qui est associe avec les bêtises, et donc je les évite. Par conséquent je ne connais pas trop les exemples.

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