jeudi 12 novembre 2009

Blog 2

Alors, c'est le deuxième texte ici sur le blog de crédits, et et j'espère que ce soit meilleur que le dernier. Il s'agit de mon premier jour à Bordeaux, mes premières impressions et mes premières réflexions.

J'étais déjà parti de la Norvège le 20. juin pour aller au Kenya et Tanzanie. Là j'ai travaillé pendant un mois et après je me suis reposé une petite semaine à Zanzibar. En direct de Zanzibar j'ai pris un vol pour retourner en Europe, et à Amsterdam j'ai rencontré ma famille qui était en train de faire un petit tour d'Europe en voiture. Je suis donc arrivé ici à Bordeaux en autoroute. Heureusement mon père avait acheté un GPS, sinon on n'aurait jamais trouvé notre logement. En effet le logement, un « bed n' breakfast » se trouvait chez l'habitant, une petite famille de trois. Nous avons vraiment aimé le convivialité, et ils ont nous donné beaucoup d'informations sur Bordeaux et ses attractions. C'était le première fois où l'on nous a parlé des changements architecturales récent de Bordeaux.

Qu'est-ce qui m'a surpris? En arrivant à Bordeaux, je ne connaissais pas du tout la ville. Ce fut une grande surprise de découvrir que elle est une belle ville stupéfiante, avec plusieurs qualités que j'aime bien. Premièrement, les petites rues étonnantes, avec énormément de restaurants et beaucoup de monde. Deuxièmement, les vastes rues piétonnes m'attiraient, et dernièrement, mais non pas par ordre d'importance; le quai, avec sa splendeur souligne par le miroir d'eau. Pendant les premières semaines je me suis promené chaque jour aimant la beauté et je me suis imprégné de l'atmosphère bordelaise.

Moi, je vois le monde comme dans un état d'équilibre; si il y à des bonheurs ou de choses magnifiques, soit culturelle, soit historique, il aurait été, et serait toujours aussi des malheurs et de souffrance et des misères. Ce principe a été la base de l'ambivalence que je sentis concernant Bordeaux. Chaque attraction touristique a provoqué des penses comme le suivant. «Ô la-la! C'est énorme, incroyable! Super jolie! Vraiment... » et après « mais les bâtiments ont couté combien de morts? Et de la souffrance? Le injustice que l'on vécu... »; Cette ambivalence est toujours présent, et elle ne serait pas jamais disparaître.
Un autre fait qui a me vraiment gêné est les SDF; pas touts, mais il y a eu des représentants pour cette groupe qui a me dégouté. Pour ce qui les ne connais pas, j'ajoute un petit définition de SDF, trouvé sur Wikipédia (version française) avant continuer;
Un sans domicile fixe (SDF) est, dans le langage courant, une personne qui dort dans la rue ou dans des foyers d'accueil. On parle aussi de sans abri ou d'itinérant.

J'ai fait pas mal de voyages, et je suis adapté (peut-être trop) a la vue des gens sans abri et des mandants. Par contre, je ne suis pas du tout habitué a des comportements antisocial socialisé (trouble des conduites, type socialisé), c'est-à-dire des conduits clairement gênants pour le plus part du monde, mais accepté, et parfois encouragé, par leur groupe de d'appartenance.
Je peux illustrer ce phénomène par une petite anecdote. En étudiant français à l'alliance française on déjeunait toujours dans le petit parc à place Gambetta. Souvent on mangeait dans le même endroit où on trouvait les SDF. Un jour les SDF se sont décidés de rigoler un peut, et ils ont vomit devant nous. Ils ont le fait exprès, clairement, et pas seulement un fois, mais plusieurs fois. Le pire a été quand un des SDF a couru vers nous, en vomant. Il y avait des filles qui ont eu peur, et moi j'étais furieux. Mais je pouvait rien faire, sauf rester pour par renforcer leur comportements. Malheureusement je subi le pressure de la groupe; et on été parti pour déjeuner tranquillement dans un autre endroit.

Des expériences comme telle sont des observations qui est à la fois dégoutants et intéressants. De temps en temps j'essaye de comprendre les SDF qui fond les comportements répulsive, apparemment sans provocation. Je n'ai pas encore trouve la réponse, la raison pour laquelle quelqu'un voudrais faire les choses comme ça, mais la question s'attarder toujours.
Donc, j'arrête des spéculations quasi philosophique pour essayer de trouver des préconisations pour des nouveaux étudiants ERASMUS. Franchement, c'est pas facile. On peut pas faire grande chose le premier jour, sauf s'installer, mais si on ferrais un cours de français avant commençant des études universitaires je croix que ce soit mieux si on habite chez une famille d'accueil pendant semaines que l'on a des cours.

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